Le plus beau blond d’Uruguay vient d’être nommé entraîneur du Club Atlético Peñarol. Il remplace Mémo López, et aura la lourde tâche de renvoyer le club le plus glorieux sur les sommets du monde.
On connait depuis longtemps les liens qui unissent le club et la famille Forlán, mais c’est une nouvelle page qui s’ouvre aujourd’hui avec la nomination du meilleur joueur de la Coupe du Monde 2010 comme entraîneur principal de la maison jaune et noire. Il y revient près de quatre ans après sa seule et unique saison jouée avec le club, durant laquelle il avait décroché le titre national. Il sera accompagné dans cette mission de son frère et de son père. L’équipe devra jouer le titre au niveau national, après une année durant laquelle López aura échoué à gagner le troisième championnat de rang, mais devra aussi s’employer au niveau continental en réussissant une aussi bonne campagne que l’année 2019 mais avec un souffle de réussite en plus, l’équipe ayant été éliminée malgré dix points acquis en phase de poule.
Le joueur a été choisi pour son professionnalisme et son amour du club. Il avait eu des offres notamment en Argentine mais il semblait attendre depuis quelques mois une opportunité qui lui laisse les coudées franches. Ce sera le cas avec Peñarol, ou la chute de López a entraîné celle du manageur sportif. L’objectif est de lui laisser choisir au niveau sportif et managérial, comme un certain Gallardo avait pu le faire avec Nacional il y a de cela quelques années, malgré l’inexpérience. Le championnat doit reprendre le 2 février, et le joueur devra d’ici là composer avec un effectif soit vieillissant (Cebolla Rodríguez, Walter Gargano…) soit trop jeune pour véritablement peser dans le jeu (Facundo Pellistri, De Los Santos). Le nom de l’entraîneur devrait avoir son importance dans le recrutement, des rumeurs circulant déjà concernant Maxi Pereira (qui ne joue plus à Porto) ou Gastón Ramírez (qui serait un super recrutement mais peu probable car le joueur joue régulièrement avec la Sampdoria). De quoi animer l’été, et repenser à 2010 et 2011. Cachavacha is back.
